GERMANO-POLONAISE (PLAINE)

GERMANO-POLONAISE (PLAINE)
GERMANO-POLONAISE (PLAINE)

Prolongeant vers l’est les fonds plats de la mer du Nord, un ensemble de vallées, collines et plaines s’étend sur la Hollande, le Danemark, l’Allemagne du Nord et la Pologne, coïncidant en gros avec la zone d’extension maximale de la calotte glaciaire (ou inlandsis) quaternaire, et caractérisé par l’omniprésence de formes glaciaires, périglaciaires et postglaciaires: au total, 1 200 km d’ouest en est, de 200 à 400 km du sud au nord et des altitudes ne dépassant que rarement 300 m. Les géographes l’appellent plaine germano-polonaise (la notion de plaine étant traduite du vocable Tiefland et ayant donné son nom même à la Pologne), tandis que les géologues préfèrent habituellement le terme de dépression («dépression d’Europe du Nord» de von Bubnoff). C’est l’une des régions naturelles remarquables de l’Europe, tant par son Quaternaire puissant, continu, ourlé de festons morainiques que par les structures sous-jacentes. On a là en effet une accumulation sédimentaire exceptionnelle allant du Permien (ou du Carbonifère) au Tertiaire, logée dans une vaste fosse presque continuellement subsidente, d’histoire mouvementée, et qui a pu être qualifiée de paragéosynclinal.

La morphologie actuelle ne doit presque plus rien au substratum: les inégalités de celui-ci ont été recouvertes d’un feutrage d’épaisseur variable, mais pouvant atteindre plusieurs centaines de mètres, précisément dans les dépressions qu’il a comblées. Les orientations majeures du relief préglaciaire, en général du nord-ouest au sud-est, peuvent expliquer certaines directions privilégiées du réseau hydrographique. Quelques pointements émergent de la couverture quaternaire, et quelques affleurements ont été dégagés par l’érosion: ainsi, les célèbres falaises de calcaire de l’île de Rügen. Il est possible également que des rejeux de dislocations se soient produits récemment, en particulier dans certains diapirs, sous l’effet du poids énorme des glaces. Le substratum, par contre, joue un rôle économique, puisque les ressources qu’il contient sont exploitées par forages à travers la couverture – le sel gemme, parfois accompagné de potasse (kali ); les charbons bruns et lignites des bassins lacustres tertiaires marginaux; les hydrocarbures et le gaz naturel – dans des conditions tectoniques fort variées: poches du Permien, montées de sel, déformations tectoniques, en particulier dans les plaines de l’Ouest (Rhin, Ems, Weser).

Les grands traits du relief actuel résultent des mécanismes liés aux oscillations climatiques qui ont commandé les grandes phases d’avancée et de recul de l’inlandsis. L’emploi simultané de méthodes scientifiques (pétrographie, morphoscopie et morphométrie, palynologie et analyse des varves lacustres), lié à l’étude des littoraux et de la sédimentation de la Baltique (de la mer à Yoldia au lac à Ancylus et à la mer à Littorines), ont permis de reconstituer les séquences climatiques et végétales en rapport avec les variations des fronts glaciaires et de diversifier à l’extrême une histoire géologique et morphogénétique des quinze mille dernières années, en présentant les tableaux synoptiques généraux et régionaux sans cesse renouvelés et enrichis, portant le cachet des écoles allemandes, suédoises, polonaises.

Géologie

La recherche des hydrocarbures, entreprise depuis la fin des années 1930, a suscité une exploitation souterraine méthodique et intensive (plusieurs centaines de kilomètres annuels de forages), guidée par la prospection géophysique: par conséquent, on dispose d’une très belle géologie à trois dimensions, dont la plupart des traits et des accidents étaient invisibles en surface (mise en évidence de blocs faillés, parfois de plissements, et de très nombreux diapirs; établissement de cartes paléogéographiques, avec courbes isopaques, de cartes géologiques «écorchées» des surfaces préquaternaires, prétertiaires et précrétacées, etc.).

Données stratigraphiques

Entre le môle fenno-scandinave et la chaîne varisque, la dépression germano-polonaise était, jusqu’aux glaciations quaternaires, la vraie mer Baltique géologique, dépendance de l’ombilic permanent de la mer du Nord, golfe fermé ou bras de mer, selon les époques. La subsidence, déjà amorcée au sud au Westphalien supérieur, lequel est connu en profondeur, notamment près d’Emden, devient très active au Permien; des couches énormes de sel sont alors piégées, surtout puissantes (1 500 m au total) à l’ouest (Holstein, estuaire de l’Elbe et de la Weser) et sous la mer du Nord.

À partir du Trias, encore salifère, la puissance des dépôts, variant latéralement de un à dix, et, souvent, leur faciès se diversifient; ils sont étroitement contrôlés par les caprices de la subsidence, en fonction de gauchissements d’ensemble à grands rayons de courbure, notamment dans le sillon ou aulacogène polono-danois, et de jeux d’affaissements locaux en touche de piano (fossés du Holstein, bassin de Basse-Saxe), ainsi que du mouvement du sel (gouttières autour des diapirs). Le Lias est surtout argileux (faciès de bordure à charbon en Scanie); le Dogger comporte de plus des faciès ferrugineux, et des faciès sableux, réservoirs d’hydrocarbures. Le Malm (Jurassique supérieur) est bathyal et puissant dans l’axe des sillons, avec des calcaires sur les hauts-fonds. En Basse-Saxe, il se termine par des évaporites, tandis que s’amorcent d’importantes dénudations. Le Crétacé inférieur ou moyen est de ce fait souvent transgressif sur le Trias (monoclinal subsudétique, Holstein, Hollande orientale, etc.) et une épirogenèse active différencie, amincit ou dilate les dépôts: on trouve de 700 à 1 000 m de sédiments portlandiens à néocomiens dans le bassin de Basse-Saxe, contre 100 m immédiatement plus au nord. La sédimentation est uniforme de l’Albien au Sénonien, lequel est cependant particulièrement puissant en bordure immédiate du Bouclier baltique.

Un épisode principal de mouvements du sol (phase subhercynienne) vers la fin du Crétacé, suivi d’érosions, explique la discordance généralisée du Tertiaire sur un substratum varié, avec trois grands cycles sédimentaires, éogène (maximum de la transgression à l’Oligocène), miocène et pliocène, ces deux derniers étant limités à la région nord-ouest redevenue très subsidente. De riches gisements de lignites se forment en bordure des golfes marins, en contrebas des massifs hercyniens.

Le tréfonds

Le tréfonds véritable de la dépression germano-polonaise est très mal connu, étant en général très profond (de 3 000 à 8 000 m d’après la géophysique, localement 12 000 m en Pologne) et de moindre intérêt économique.

Au nord et à l’est, le socle précambrien s’abaisse graduellement ou selon un escalier de failles, avec une remontée partielle au centre du Danemark (bloc de Fyn). En Pologne nord-orientale (Mazurie), la gravimétrie puis les sondages ont permis de découvrir en profondeur des massifs d’anorthosite, gabbro, etc., avec de riches minéralisations de fer accompagnées de nickel. D’autres gîtes de fer stratiformes sont localisés dans le Précambrien récent, base de la couverture sédimentaire, qui comprend aussi le bassin houiller du Bug.

Le talus méridional de la dépression germano-polonaise correspond à l’ennoyage par basculement du bâti varisque frontal, avec importantes déformations posthumes, surtout cassantes, parfois plicatives, d’âge mésozoïque et tertiaire (tectonique dite saxonne).

La vaste région déprimée intermédiaire est, pour les uns, le simple prolongement, fortement affaissé, de la plate-forme pré-cambrienne; pour d’autres, on aurait là-dessous un rameau calédonien se détachant, en direction nord-ouest, du massif sudète pour se raccorder de façon sinueuse soit au Brabant, soit au faisceau calédonien de Stavanger en Norvège. À l’appui de cette hypothèse, on fait état de schistes à Graptolites redressés, découverts en sondage, et de la diminution rapide du degré géothermique en direction de la suture profonde supposée ou «ligne de Tornquist» séparant la plate-forme d’Europe orientale du rameau rajeuni.

Les grandes structures

L’essentiel des grandes structures sera étudié au sein des sédiments mésozoïques; d’est en ouest, une subdivision tripartite s’impose:

– Le bassin polonais (sillon polono-danois), orienté du nord-ouest au sud-est, joue le rôle d’une profonde «gouttière péricratonique» bordant la vieille plate-forme stable pré-cambrienne. Une série sédimentaire, très puissante dans l’axe du bassin (plus de 6 000 m), s’y est déposée, en concordance tranquille, du Permien supérieur au Danien. Au début de l’Éocène, cette même zone médiane s’est soulevée: c’est l’anticlinorium de Coujavie-Poméranie, anciennement dénommé axe de Tempelfurg, qui relie les monts de Sainte-Croix au seuil du Mecklembourg et au môle de Fyn, d’où l’individualisation de deux gouttières latérales: sillon de Lublin relayé par le sillon de Scanie-Jutland septentrional et sillon de Stettin-Lodz-Nida. Le grand dos d’âne médian comprend quelques très gros diapirs isolés.

– La région centrale : depuis le sillon de Lublin jusqu’aux premiers affleurements du socle varisque (Flechtingen, Lusace, môle subsudète) s’étend une sorte de «marécage tectonique», région restée en général assez stable, bien que souvent fortement érodée à la fin du Jurassique. Elle est assez pauvre en diapirs. Au nord-est, elle aboutit au seuil du Holstein oriental et du Mecklembourg.

– Le bassin de l’Allemagne du Nord-Ouest doit son extrême complexité à l’entrecroisement d’un double faisceau d’accidents saxons. Un système de failles distensives nord-nord-est - sud-sud-ouest (direction «rhénane»), appartenant à la zone de rifts Oslo - Bouches-du-Rhône, délimite toute une série de horsts et de fossés subméridiens. Ils sont surimposés à un système d’accidents, les uns faiblement distensifs, les autres compressifs, orientés ouest-nord-ouest - est-sud-est (direction «hercynienne» des auteurs allemands), surtout situés aux limites de blocs inégalement mobiles. La famille de môles varisques Flechtingen-Harz-Thuringe, qui prolonge le quadrilatère de Bohême, s’ennoie brusquement à l’ouest sous le profond bassin de la Basse-Saxe, lequel comporte des plissements et chevauchements parfois intenses à son bord sud et, en profondeur, des plutons intrusifs d’âge éocène, ou crétacé terminal. Ce bassin paragéosynclinal est entouré de blocs plus stables (plates-formes de Westphalie au sud; de Hollande orientale à l’ouest; seuil de Pompeckj, puis horst du Holstein; avec sillons locaux, au nord). Les structures précédentes sont définies au niveau du Mésozoïque. Le socle profond paraît, lui, s’enfoncer régulièrement vers l’ombilic de l’estuaire de l’Elbe, région où la subsidence redevient très active au Tertiaire comme elle l’avait été au Permien et au Trias inférieur. Partout, dans cette région occidentale, où la surcharge était suffisante, le sel s’est mis en mouvement (halocinèse), en refoulant puis en perforant son toit, non sans effets parfois importants d’entraînement latéral («écailles» intra-cutanées). Un certain déterminisme tectonique de type classique n’est pas exclu dans le déclenchement du phénomène, mais celui-ci était en majeure partie autodéterminé et s’est échelonné durant tout le Mésozoïque et le Tertiaire. Parmi les deux cents diapirs ou plus de toutes formes déjà prospectés, certains atteignent les dimensions considérables, notamment les murs de sel du Holstein, qui peuvent dépasser 100 km de longueur sur 4 à 5 km de largeur et sans doute autant en hauteur. L’ensemble, avec les anneaux de surépaisseurs stratigraphiques issus de l’affaissement périphériques lors de la montée du sel, constitue des pièges à hydrocarbures aux réserves limitées. Les grands gisements anticlinaux de gaz du type de Groningue auraient une autre origine: le dégazement géothermique du Houiller lié à la subsidence; celle-ci est encore en cours en Hollande et en Frise.

Géographie

Morphologie

Si l’on néglige la glaciation antérieure de l’Elster, on peut distinguer très grossièrement deux grandes périodes de glaciation, marquées par des avancées notables de la calotte: celle de la Saale, correspondant à la troisième glaciation alpine ou Riss, et celle de la Vistule (en allemand, Weichsel), contemporaine du Würm alpin. La première s’avance plus loin vers le sud, mais ses marques ont été en grande partie altérées ou effacées. La seconde, plus récente, s’avance moins loin vers le sud, mais elle a laissé des traces beaucoup plus nettes, plus fraîches et donc beaucoup moins remaniées, et elle est marquée par d’importants stades d’arrêt ou de légère progression, successivement du sud au nord: de Brandebourg, de Francfort-sur-Oder ou Poznan, de Poméranie.

On distingue aussi plusieurs types de morphologie glaciaire. La zone limite méridionale des blocs erratiques anciens, du Rhin aux Beskides, touche au pied des massifs hercyniens où les formes glaciaires sont très réduites; les arcs morainiques, externes (les plus anciens) et internes (les plus récents), y offrent deux paysages: celui de la moraine de fond, avec sa topographie caractéristique de drumlins et d’œsars ; celui des moraines terminales dissymétriques et des collines morainiques formant les «croupes baltiques». Une seconde catégorie de formes relève des complexes fluvio-glaciaires: plaines de sandr , terrasses climatiques, formes de dissection des moraines dues au ruissellement... Une troisième famille comprend les formes péri- et postglaciaires de remaniement, résultant soit des processus liés au maintien du pergélisol (façonnement par solifluxion du modelé des versants et engorgement des fonds de vallées), soit des mécanismes d’accumulation et de déflation d’origine éolienne (dépôts sableux, dunes, lœss).

Hydrographie

L’histoire de la formation du réseau hydrographique se lit encore clairement dans les traits majeurs du réseau actuel, formé de deux types de tronçons. Les troncs longitudinaux, larges chenaux parallèles aux différents fronts de l’inlandsis, recueillaient et évacuaient les eaux de fusion en direction du nord-ouest, entre la Hollande et le Jutland: les Allemands les appellent Urstromtäler , les Polonais pradoliny (vallées primitives). Ils forment les cours transversaux des fleuves se jetant dans la mer du Nord et la Baltique (sillons Wroclaw-Magdebourg-Brême et Varsovie-Berlin-Hambourg): les uns sont empruntés par un cours d’eau, les autres ont été occupés par des lacs formant des chapelets ou convertis en marais. Les troncs transversaux, grossièrement perpendiculaires aux premiers, ont remembré le réseau initial, en dirigeant l’ensemble des eaux, à travers les arcs morainiques, vers l’inlandsis en recul; les vallées inférieures, ennoyées par les récentes transgressions et en voie de comblement, constituent de profonds estuaires (l’Elbe) ou des golfes, appelés Föhrde , précédés de cordons dunaires dans la mer du Nord ou débouchant sur le littoral baltique, sur des baies (Haffen ) barrées de flèches (Nehrungen ). La disposition de ce réseau explique non seulement le site des grands ports maritimes, mais aussi le creusement de canaux empruntant les vallées primitives et reliant ainsi les branches transversales: le Mittellandkanal en Allemagne; le canal du Notec à la Vistule en Pologne.

Occupation du sol

Après chaque retrait de la calotte se développent des associations végétales et des chaînes de sols en rapport avec les variations climatiques (toundra, steppe, forêt, marais, etc.). L’étude fine de la pédologie et des mutations végétales depuis des millénaires a permis de reconstituer la genèse des milieux naturels offrant des conditions variées à l’occupation et à l’utilisation du sol, donc au défrichement. On oppose les terres noires, sur les lœss de la périphérie de l’inlandsis, aux sols de gley des marais, d’alios sur les sables, et aux podzols des croupes morainiques. Les datations au carbone 14, les analyses polliniques, l’étude des chartes de colonisation et des plans anciens retraçant l’évolution des essarts de la forêt primitive (Urwald ), des désertifications (Wüstung ), de l’assèchement des marais, etc. a également permis la reconstitution d’une longue histoire agraire: la zone du lœss, les terrasses sèches, les tertres sableux ont été occupés bien avant les fonds de vallées.

La plaine germano-polonaise constitue donc un riche champ d’études non seulement pour les géologues et les morphologues, mais aussi pour les historiens et les géographes qui s’attachent à décrire et classer des types de terroirs et des formes de la colonisation, en rapport avec les caractères physiques hérités de l’époque glaciaire. La géographie générale s’est considérablement enrichie de notions et de termes empruntés à ces études locales.

Paysages et régions

Le rôle relatif de chacun des éléments naturels, humains, historiques, permet de distinguer plusieurs milieux géographiques: les campagnes du lœss, de Magdebourg à la Silésie, forment la Börde ; le Brandebourg représente le type classique des pays de lacs et de marais; les landes à l’ouest de la Weser s’étendent sur les placages sableux donnant le paysage de la Geest ou Heide ; les croupes morainiques du Mecklembourg et de Mazurie forment les régions les plus pittoresques, appelées «petite Suisse» par les voyageurs; les larges vallées de l’Elbe, de l’Odra et de la Vistule constituent des voies de passage et des axes de développement urbain.

D’autres facteurs contribuent à distinguer d’ouest en est des groupes de régions: les nuances et les oppositions du climat dont les traits continentaux s’accentuent vers l’est; les vicissitudes des peuplements germanique et slave depuis le haut Moyen Âge; les variations de frontières politiques dont le redécoupage depuis la Seconde Guerre mondiale a transformé profondément les traits antérieurs de la population et de l’économie. Une étude régionale plus fine de l’Allemagne et de la Pologne conduirait à la distinction d’un grand nombre de régions et de pays marqués par l’histoire, la politique et la géographie.

Encyclopédie Universelle. 2012.

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